Bureau de Lamto

Balnoth qui s'était réjoui a l'idée de rester avec son régiment repondit:

Exelentes idées!!! Je suis d'accord pour cela.

Citation :: Pour ce qui est du bloquage, l'entraînement me semble très simple: tu te mets devant une porte nous essaierons chacun notre tour de forcer le passage. Je suis prêt à te parier la tournée du régiment que si tu tentes de bloquer chaque légionnaire du régiment, en 3 jours tu auras progressé de façon impressionnante.

Pari tenu, J'offre 2 tournés si vous reussisez a me passer.

Citation :: Moi je peut t'enseigné la course ainsi que la physionomie, je suis maitre de ces 2 talents ainsi que celui d'éclaireurs. De plus je suis bon professeur. Donc pourquoi payé si tu peut le faire gratuitement et avec nous.

Je suis moi aussi maitre en course, donc cela n'est pas un probléme, mais pour la phisionomie, cela serais excelent!

***Lamto qui n'avait pas encore eut le temps d'en placer une, put enfin répondre à Balnoth. ***

Bon je pense que tu as ta réponse. Je vais organiser pendant notre surveillance une série de "matières" à enseigner à chacun. Si tu as d'autres question je t'écoute.

Viemuxar sourit en entendant la remarque de Xandary:

Tu sais, je peux apprendre quelques coups à certains d'entre vous mais pour les essayer ils auront besoin d'un adversaire pour s'entraîner or je ne peux pas en même temps expliquer et esquiver, il va donc falloir que ceux qui ont de solides armures s'y collent... à nouveau.

Pendant la dernière partie de sa phrase Viemuxar semblait désigner Xandary du regard alors que son sourire s'élargissait.

Xandary souriait aussi, celà lui faisait pensez a une ancienne mission dans l bois des bandits avec les arténiens.

Sinon pour l'entreinement on peut utiliser mon pioms, faudra quelque pensement pour pas qu'il crève, il pourra encore servir. Mais on peut l'utilisé, en plus se sera plus pratique.

Xandary et viemuxar se mit a rire

Balnoth retorqua:

Je tapperais pas sur ton piom!

Quelques semaines aprés ces évènements, Balnoth se retrouvais dans le Bureau de Lamto pour discuter de sa nouvelle mission. Alors qu'il cherchais quelques bouteilles d'Hydromel, Balnoth fit la merveilleuse surprise de tomber sur un nouveau dossier. Sur l'un était marqué dossier de Scarz, sur l'autre dossier de Falco...Peut-être étais-ce de nouveaux membres du regiment.
Soudain, quelqu'un ouvrit la porte...

Eh bien Balnoth, que fais-tu en ces lieux ? Tu voulais me parler je suppose...mmm...à moins que ce soit...

***Lamto se hâta pour récupérer les bouteilles que Balnoth venait de s'acquèrir.***

Je me charge de ça...si tu as des questions pour la mission ou autres, je t'écoute. Dans le cas contraire retournons dans la salle de commandement.

Non en fait je venais juste.....Pour les bouteilles, et je suis tombé sur un nouveau rapport, c'est un nouveau venu ?

En effet, Scarz un cadet fraîchement promu. C'était ce que tu voulais savoir ?

Tout a fait Capitaine, merci...

***Le capitaine retrouva son bureau, la poussière, le désordre étaient maître des lieux. ***

pfffuuuu....je vais devoir me mettre on ménage, bon aller..

***Ce mettant au grand rangement, classant tout les rapports, les dossiers, et autres dans sa bibliothèque son petit piom apparu. ***

Depuis quand tu fais la boniche du village ???

Toi, je t’ai pas demandé ton avis...

Oula, je vois que monsieur est grincheux aujourd'hui...aller raconte à zigounet ce qui t'es arrivé.

C'est pas vrai...qu'est-ce que j'ai bien pu faire pour avoir un piom aussi en têté et borné ?!

Ok ok ok, moi qui voulait te remonter le moral et voila que tu me traites de la sorte !! snifff qu'est-ce j'ai bien pu faire pour avoir un maître aussi stupide snifff

***Le petit piom se mit à pleurer. ***

Et voila c'est reparti, tu vas encore me faire ta scène...c'est pas croyable...

Comment tu peux être aussi ignoble !! Moi qui t'apportes tes missives, moi qui....

Oh eh ! T’exagères là...très bien...je m'excuse de m'être emporter sur toi...

***Lamto s'assit sur sa chaise et regarda sa fenêtre. ***

Tu sais, tellement de choses changent, j'ai changé, Silve a changé, la Légion a un autre visage depuis que j'y suis entré, et puis...

***Lamto se tourna et vue Zieg lui prendre plusieurs verres d'hydromel. ***

euhhh...comment dire....

Toi tu n'as pas changé !

***Et le petit piom vola du bureau de Lamto vers le mur extérieur en le rencontrant violement. La porte se referma et laissa Lamto seul dans son bureau. ***

Silve ne devrait plus tarder...

(rien a voir avec le post au dessus, continuation du RP dans la salle d'entrainemen)

Après que son camarade ai quitté la salle, il se replongea quelques temps dans ses pensés, fermant les yeux, ouvrant son esprit …

L’invitation était t’elle faite par son capitaine, par son ami ? Pour le savoir il fallait y aller. De toutes manières Silve ne ratera pas cette occasion de raisonné son ami, même si il s’y prend un peu trop tard a son goût. Se levant, il salua les quelques compagnons encore présent dans la salle.

Compagnons, je dois m’absenter. Bon entraînement.

Et il parti placidement en direction des quartiers des scorpions. L’air se faisait doux et il avait tout le loisir de penser a ce qu’il allait dire aux questions de Lamto. Une fois arrivé devant la porte du bureau de capitaine, il réajusta son équipement, reposa son casque sur son crâne. Dans ses tenues de bataille, Silve n’était plus l’homme avachi par les guerres, mais paraissait rayonner, son aspect ressemblait aux statues des braves dans les halls militaires : sa stature, son aura positive, ses luxuriantes décorations, sa personnalité singulière, s’alliaient ; le vêtement militaire faisant également parti de la vie intégrante de Silve, lui collant a la peau, lui donnant un aspect charismatique. Une fois après avoir, réajusté son équipement, il frappa a la porte.

*** Toc Toc Toc **

Entrez !

Silve ouvra doucement la porte, profitant par la même occasion pour redécouvrir ce bureau qu’il avait laissé il y a quelques mois au paravent. Il n’avait pas vraiment changé, et il fut ravi de retrouver ce cadre familial qu’il connaissait si bien et qui lui remémore de bons souvenirs. Lorsque son regard se posa sur Lamto, la raison pour laquelle il était la lui revint a la mémoire.

Je crois que vous souhaitiez me parler, me voici.

Xandary avait vu lamto quitté la salle d'entreinement puis Slve et il savait au vu des évenement passés que les 2 allaient s'expliqué et il voulait connaitre le fin mot de cette histoire. Seulement il savait que Lamto refuserait.

Blouffon cria t-il

Oui maitre

Je veut que tu aille dans le bureau de lamto discretement et que tu me rapporte leur conversation, mais ne te fait pas remarquer compris.

Bien Maitre

***Silve entra dans le bureau, refermant la porte doucement se mettant face à Lamto qui lui était assis. ***

Je t'en pris, assis-toi...

***L'invitant à s'asseoir, Silve déposa son casque sur la bureau et s'assis, ne perdant pas les yeux de Lamto. Tout restèrent longuement à ce fixer sans émettre un quelconque mot. ***

Bien, je pense qu'il est en mon devoir d'agir et de faire prendre conséquence des ces derniers événements...cependant...je te connais bien, avant tu as été mon capitaine, nous avons, et nous le resterons des frères d'armes...c'est pourquoi je vais laisser de côté les règles.

***Prennent complètement un autre air, il mettait plus son ami à son aise. ***

Bon sang Silve...je peux comprendre que la présence d'une femme puisse te déranger, mais en venir à lui manquer de respect, qu'il s’agisse d'un homme ou non, ce n'est pas digne d'un légionnaire, tu dois savoir être tolérant. Je peux comprendre dû au passé, mais il n'en reste qu'elle est un scorpion !

Tu sais comme ce symbole nous ait cher, comme nous avons travaillé dur pour arriver à tout ceci.

N'oublies pas nos principes, ceux que nous avons établi, honneur, justice, respect, loyauté envers notre Empereur, impérialisme.

***Il se tue un instant et pu lire sur le visage de son ami comme toutes ces valeurs lui sont cher, plus que sa vie. ***

Nous devons apprendre à croire en nous même, mais également aux autres, comme je crois en toi, à Viemuxar, Xandary, Pierketou,... aux autres. C'est pour ça que nous sommes des Scorpions, parce que nous savons qu'à chaque instant, quoiqu'il arrive nous pouvons compter les uns sur les autres, parce que nous croyons en nos idéaux ! C'est ce qui fait notre force, et pourquoi nous sommes Scorpions.

...Ceberia croit en ces valeurs, alors ne la rejette pas pour je ne sais qu'elle raison, elle est comme toi, scorpion.

Silve écoutait Lamto durant toute sa tirade, il voulu intervenir a plusieurs reprises, mais le capitaine lui coupa l’élocution. Lorsque celui ci sembla avoir terminé, il prit enfin la parole.

J’espère que tu me laisseras parler maintenant.

Puis d’un air calme et décontracté, il commença a expliquer sa position au capitaine.

Enfin Lamto, perds tu la tête pour me parler ainsi ? Je ne suis pas n’importe quel légionnaire, avec moi les règles sont différentes et tu les as acceptés quand tu as signé l’attestation d’incorporation au régiment. Ne me donnes pas des leçons sur le comportement d’un légionnaire, je n’en ai pas besoin et tu le sais, redit moi une seule foi un affront de cette acabit et je ferais en sorte que tu le payes chère. As-tu compris ?

Plus il avançait dans ses propos, plus sa vitesse s’accélérait, plus son ton haussait, pour finir sur un coup de point sur la table. Puis le repris paisiblement

Cesses de parler hiérarchie et ordre militaire, dans mon cas elles sont caduques. Je ne suis venu uniquement parce que je croyais pouvoir parler a Lamto l'alter ego, le compagnon. Ressert moi ce discourt et je sors de la pièce.

Lamto posa un regard sur Silve, sa figure était rouge et ses yeux rempli de gouttes prêtent a tomber. Sa voix se durcie, ses gestes se saccadèrent.

Il ne suffit pas d’être dans le 3R3C pour être un scorpion : l’idéalisme que cela inspire n’est pas transmit lorsque quelqu’un obtient sa promotion dans le régiment.

Lamto, ouvres les yeux ! C’est une délémite, tu sais très bien ce qu’elles sont : chaque mot qu’elles disent n’est qu’une illusion magique, leur beauté est leur outil de travail préféré pour combler leur convoitise. On ne pourra jamais travailler dans de bonnes conditions avec elle, d’autant plus qu’elle n’a ni l’allure ni la carrure d’une légionnaire. Elle nous retardera et nous créera plus de difficulté que d’efficacité. Je suis près a tout les sacrifices pour aider un légionnaire vaillant et honnête, mais pas une langue de vipère qui doit déjà se lécher les doigts d’écarter le seul homme se dressant devant son statue de femme fragile.

Silve s’arrêta net, il prit un moment de réflexion ; Lamto intrigué ne réagissait pas. Après quelques secondes de pause, il se leva.

De toute manière je ne vois pas pourquoi je perd mon temps ici, si tu fais tous ce cinéma par rapport a cela, c’est sûrement que je m’y prend trop tard.

Il prit son casque, le revêtis, resserra ses gants …

***Lamto resta là, à le fixer, et c'est là qu'il comprit, son vieil ami n'était plus, le Silve qu'il avait connu, son frère d'arme, tout ceci était mort. Le Silve qui se tenait devant n'était un ancien maréchal, qui se croyait encore dans son ancien post. Lamto le fixa longuement, et ne voulait y croire, pour lui, cela était impossible, mais tout s'expliquer, ses agissements si étrange lors de son mandant, son mal être. Le Silve que Lamto avait connu était mort. ***

Humm...bon je vais être claire la dessus, ancien maréchal ou pas, si je revois des attitudes similaire se renouveler, je vais tâcher de prendre les mesures nécessaire pour que cela cesse, je suis le Capitaine de se régiment, cela signifie que je mène se régiment.

Maintenant tu peux disposer.

***Soudain, Lamto se sentait pris d'un malaise, sa tête lui faisait horriblement mal, comme il regrette les temps anciens, son meilleur ami n'était plus, Lamto se disait que le pouvoir avait monter la tête de Silve, il le croyait plus fort, que ça ne serait pas une simple chose qui le changerai, le capitaine était déçut de son légionnaire, mais l'homme était profondément blesser d'avoir perdu son frère. Plus rien ne sera comme avant, et il venait de la comprendre, la fraternité entre ces deux hommes s'est tue. Avant que Silve ne quitte la pièce, il lui dit. ***

Que personne ne vienne me déranger, je souhaite rester seul.

***Il resta longuement là à regarder les insignes de la légion, des scorpions, puis il pris une plume et se mit à rédiger quelque chose. ***

Silve qui était sur le palier se retourna et écouta son ami, ou son capitaine plutôt, ce dernier voulant a tous pris jouer le rôle hiérarchique a défaut d’utiliser la fraternité étendue a des années. Chaque mot que Lamto prononçait était un supplice supplémentaire, son esprit le tourmentant, comme si il prenait conscience que quelque chose de grave et d’important se jouait dans sa vie. Obnubilé par cette sensation, il en vint a oublier l’essentielle, les paroles de Lamto. Ce n’est simplement que lorsque il dit les derniers mots que Silve retomba à la réalité.

Bien.

Voilà la seule chose qu’il pouvait dire tant sa mémoire le suppliciait, ne sachant pas vraiment quels étaient les dires de Lamto. Il fit demi-tour et parti en direction de sa chambrette, restant droit et fière dans son costume, malgré sa conscience qui lui faisait défaut.

Une fois arrivé a destination, il alluma un feu et s’allongea dans sa couche a penser. S’étant assoupi ; il se réveilla a la hâte, voulant s’assurer ne pas avoir sommeillé trop longtemps. Il n’en était pas, et pour terminer la soirée en beauté, il s’ouvrit une nouvelle bouteille d’hydromel. Il s’installa sur un petit bureau établi au fond de la piécette, verre et bougie a la main, et commença la lecture d’un nouveau livre sur les mémoires de la légion impériale fraîchement débarqué de la modeste bibliothèque de maître Harold.

Silve trépidait a l’énonciation des batailles et des anciens héros de l’histoire. La vieille époque était sûrement plus hospitalière que celle actuellement ou l’on jette tous les anciens hauts-dignitaires au dépotoir : dans les temps de jadis chaque vaillant homme était voué aux honneurs jusqu'à la fin de sa vie. « Quel décadence dans cet Empire qui ne tourne immanquablement que dans le mauvais sens. ».

Après un bon moment de lecture, il décida lui aussi de prendre la plume et de réfléchir a son future qui semblait le séparer des scorpions et des ses anciens camarades. Il inscrivit toutes ses possibilités sur une feuille, faisant cela avec sérieux et ordre, et il parvint a créer un schéma de la situation. Tout était donc clair maintenant et il pouvait aller dormir tranquillement : il bu d’une traite l’hydromel qui restait dans son récipient, rangea son livre et ses feuilles, rajouta quelques bûches dans le feu et alla se blottir dans ses fines couvertures.

[hrp/ si quelqu’un a envie de sortir Silve de son sommeil, je ne sais pas ou continuer le RP, dans les quartiers Aurias ? /hrp]

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