Les officiers ont droit à des chambres individuelles mieux meublées que celles de leurs hommes. Celle du capitaine Mordraug dégage une atmosphère triste, ou morne, selon. Une sentinelle, relevée toutes les 2 heures, garde l'entrée. A l'intérieur, un simple lit de plumes, comme ceux des légionnaires, accueille l'officier. Une malle pesante lui permet de ranger ses affaires, et un miroir en pied fait face à la fenêtre.